Nos Apps @Avanquest viennent de passer le cap des 2 millions de téléchargements sur les plateformes smartphones & tablettes IOS, Android...!
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Nos Apps @Avanquest viennent de passer le cap des 2 millions de téléchargements sur les plateformes smartphones & tablettes IOS, Android...!
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Mon 'carnet de croissance' mensuel avec Les @EchosBusiness, ce mois-ci on parle intéressement et actions gratuites http://t.co/syDuTjix64
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En route pour notre 2ème #SyntecCamp autour des partenariats techno et du #Cloud : début des échanges à 9h ! http://t.co/rRDvDiGRUS
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Vous avez bien tout compris? Ministre riche c'est mal, Ministre pauvre c'est nul et l'argent c'est sale... Jusqu'où allons nous descendre?
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+1 RT “@laurentbouvet: Confondre ce que l'on est, ce que l'on a et ce que l'on fait n'est pas une bonne nouvelle pour la démocratie"
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RT +1 “@nicolasvoisin: "terrible press for the French startup scene..." sad but brillant analysis http://t.co/g4gqswrqfR by @RudeBaguette”
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RT @roxaneplanas: Even Apple isn’t sure whether AppGratis actually violated Apple’s app store guidelines | VentureBeat: http://t.co/UHEWMx939A
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Mon dernier Blog viens de sortir sur Challenges.fr : Dur, dur de devenir une ETI du numérique en France ! http://t.co/O53jZsPFzK
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Les ETI sont-elle les délaissées de notre économie ? Les start-ups sont adulées, à juste titre, pour leur dynamisme et leur capacité d’innovation. Les PME sont les enfants fragiles, à protéger pour éviter qu’elles ne disparaissent. Les grandes entreprises, elles, sont les adultes dont on peut être à la fois fiers et critiques. Mais, on oublie trop souvent les entreprises intermédiaires, qui sont pourtant le fer de lance de la compétitivité d’un pays. On ne rappelle pas assez la contribution essentielle du Mittlestand allemand dans la réussite de l’économie Outre-Rhin.
Quand une entreprise évolue dans le secteur du numérique, cette impression de laissé-pour-compte est décuplée, car dans cet environnement en constant mouvement, c’est souvent aux grands groupes américains ou aux jeunes pousses à qui l’on pense spontanément. Pourtant, sans opposer les uns aux autres, ce ne sont ni les premiers ni les derniers qui créent des emplois ou paient leurs impôts en France. C’est bien ces entreprises de plus de 50 salariés et ayant un chiffre d’affaires de moins d’1,5 milliards d’euros qui peuvent permettre à la France d’avoir des champions dans le domaine du logiciel, de l’e-commerce ou des services numériques. Car la force des ETI est là : pouvoir concilier capacité d’innovation et d’export, afin d’apporter une vraie valeur ajoutée à l’économie française.
Si cette remise au point est nécessaire aujourd’hui, c’est parce que si la France peut s’enorgueillir de compter de plus en plus de nouvelles start-ups dans le secteur du numérique, celles-ci se font racheter par des plus grands avant même d’avoir pu atteindre le cap de la maturité. Quels sont ces leviers, aujourd’hui grippés, qui pourraient leur permettre de passer un jour au stade d’ETI ?
D’abord, la recherche de financements qui doit être facilitée, le nerf de la guerre, pour une PME qui veut grandir. Sans capitaux, elle ne peut pas continuer à se développer. A ce titre, les contraintes liées à la cotation boursière freinent les petites entreprises à se lancer sur les marchés financiers ; de même, l’imposition des plus-values de cession et les limites introduites par la dernière loi de finances sur l’attribution d’actions gratuites, n’incitent pas à privilégier des investissements productifs par rapport à la spéculation.
Ensuite, la simplification des formalités administratives françaises, aujourd’hui trop complexes. Quand on est une start-up du numérique, l’essentiel de son énergie doit être concentré sur la recherche d’idées nouvelles… et non pas à l’empilement d’obligations réglementaires. A quand un vrai guichet unique numérique pour remédier enfin à ce problème ?
Enfin, la concentration de nouveaux talents dans ces entreprises est un volet essentiel pour construire les champions de demain. Surtout dans le secteur du numérique où la concurrence se fait avec des géants américains qui bénéficient d’une force d’attraction indéniable pour les jeunes. Or, la rigidité et le coût d’un contrat de travail en France les encouragent soit à l’expatriation, dans des pays où les salaires nets seront plus avantageux, soit à être salarié d’un groupe plus important, pour éviter la prise de risque de travailler dans une start-up.
L’énumération de tous ces obstacles au développement d’une start-up à l’ETI laisse penser que l’Etat a un rôle important à jouer. Ce n’est pas faux : si le gouvernement américain n’avait pas pris conscience de l’importance du secteur du numérique pour leur économie en les laissant s’épanouir sans entrave, les jeunes pousses de la Silicon Valley auraient vite fané et ne seraient pas devenues les champions que l’on connaît aujourd’hui !
Mais au-delà de mesures techniques, c’est en profondeur qu’il faut agir via la sensibilisation de notre administration, de nos universités, de nos leaders d’opinion aux forces de ce secteur pour la compétitivité de la France. Sans ce changement de culture, notre économie et les politiques publiques seront toujours vue à travers le prisme très industriel de l’après-guerre mondiale. Un retard, illustré par le fait que parmi les champions actuels du CAC 40, la quasi-totalité existait déjà il y a 30 ans !
Crédits Photo:
Stormtrooper : (c) Kristina Alexanderson
Formalités administratives : (c) blog-du-portage-salarial.fr
SEB : (c) tpe-gkm.skyrock.com
De http://leconomiereelle.blogs.challenges.fr/ - Source
11avril2013
RT @cpoyau: Comme @jfpecresse @LesEchos je pense qu'il faut juger les élus sur ce qu'ils font et non pas sur ce qu'ils sont où ce qu'ils ont !!!
De @bvanryb - Source